Développementaliste, j’utilise la drosophile pour aborder différentes questions relatives à l’homéostasie intestinale.
Après une thèse portant sur le rôle des protéines ERM dans a mise en place de axes du corps réalisée, dans l’équipe de François Payre, j’ai effectué un stage postdoctoral dans le laboratoire de Nic Tapon afin d’appréhender le mode de régulation de la voie de signalisation Hippo. Recruté en 2007 au CNRS, j’ai rejoint l’équipe dirigée par Marc Haenlin et Lucas Waltzer pour travailler sur la régulation de l’hématopoïèse au cours de la vie larvaire. Depuis 2012, je développe un projet de recherche autour du maintien de l’homéostasie intestinale et rénale chez la mouche adulte. Je m’intéresse plus particulièrement à l’influence de l’instabilité génomique dans les mécanismes de tumorigènese et des syndromes paranéoplasiques qui peuvent en découler.
Cette question est abordée grâce à des approches génétiques combinées à des approches pan-génomiques (omics).